Ils ont acheté la maison de leurs rêves et Mao et son mari ont vécu une vie modeste mais heureuse. Un matin, Mao, un vendeur à domicile qui est une personne sérieuse et calme, n'a d'autre choix que de traiter le vendeur grossièrement et l'envoie chez elle. Bien que ses sous-vêtements habituels et modestes soient découverts dans la buanderie, elle est flattée : « C'est dommage, puisque tu es si belle », et entendre un compliment pour la première fois depuis longtemps réveille la femme qui est en Mao... *Il peut y avoir quelques perturbations dans l'image et le son.